DESINFOX360 - Non, le Covid-19 n'a pas causé 100 000 morts en France
L'infox : Dans une déclaration à l'issue du Conseil des Ministres du 14 avril 2021, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a évoqué la possibilité d'un hommage national au "100 000 personnes emportées par l'épidémie de Covid-19".
Les faits : La théorie des "100 000 morts dûs au Covid-19", avancée par plusieurs médias subventionnés comme le journal Le Monde, correspond à une évaluation controversée de l'Inserm, qui s'appuie sur les "certificats de décès établis par les médecins". Or, plusieurs familles ont dénoncé la classification hâtive des décès de leurs proches dans la case Covid-19, y compris lorsque ces derniers étaient très âgés ou atteints de pathologies graves, comme des cancers en phase terminale. Dès le mois d'août 2020, le JDD relevait que nombre de ces décès étiquetés Covid-19 étaient en fait des "suspicions de cas Covid" qui, en réalité, n'avaient pas fait l'objet d'analyses ou de tests plus poussés pour confirmer ou infirmer cette hypothèse. De son côté, Santé Publique France évoque des "certificats comportant une mention de Covid-19 parmi les causes médicales de décès", ce qui est plus précis et révèle que le Covid-19 n'est généralement pas la cause déterminante du décès, bien que cette infection puisse être un facteur aggravant pour le public concerné : l'âge médian des décès concernés est de 85 ans, et des comorbidités sont renseignées dans 65% des cas (décès certifiés par voie électronique, données du 6 avril 2021, Santé Publique France).
Selon les statistiques de l'INSEE, on compte environ 55 500 décès de plus en 2020 par rapport à 2019. Mais rien ne permet d'affirmer que cet excèdent de mortalité soit directement attribuable à l'épidémie de Covid-19 plutôt qu'à la dynamique naturelle d'une population vieillissante d'une part, et aux conséquences directes et indirectes des politiques de restrictions sanitaires adoptées depuis le mois de mars 2020 d'autre part (reports de soins, isolement forcé des personnes âgées, stress et anxiété induits par la psychose médiatique, fermeture des salles de sport, confinement en espace clos, augmentation de la consommation d'alcool et d'antidépresseurs, hausse des troubles mentaux et du nombre de suicides...). Par ailleurs, plusieurs lanceurs d'alerte ont pointé du doigt le rôle du Rivotril, un puissant sédatif pouvant provoquer des complications respiratoires et administré à des personnes âgées résidant en EPHAD suite à un décret publié le 29 mars 2020, dans l'augmentation du nombre de décès enregistrés dans ces établissements. De nombreux médecins ont également dénoncé les interdictions de prescriptions et de traitements précoces qui leur ont été imposées par le gouvernement et qui ont favorisé le développement des formes graves du Covid-19 chez leurs patients, et donc la saturation des services hospitaliers déjà surchargés en temps normal. Enfin, selon une étude menée par plusieurs chercheurs indépendants, dont Laurent Toubiana et Laurent Mucchielli, le nombre de décès réellement attribuables à l'épidémie de Covid-19 serait d'environ 23 000, soit 4 fois moins que le chiffre officiel.
Conclusion : Non, le Covid-19 n'a pas causé 100 000 morts en France. Depuis le début de l'épidémie, les médias subventionnés et le gouvernement multiplient les annonces anxiogènes en s'appuyant sur des statistiques biaisées et des estimations douteuses pour justifier la restriction des libertés individuelles. Face à la désinformation médiatique, adoptez les bons réflexes : recoupez les informations, exercez votre esprit critique, et fiez-vous aux médias indépendants dénués de tout conflits d'intérêts.
DESINFOX360, c'est le nouveau service de fact-checking et de lutte contre les fake news médiatiques propulsé par le MND. Ce projet collaboratif répond à un double impératif : déceler les erreurs, les approximations et les mensonges diffusés par les médias mainstream, et proposer une information fiable et vérifiée aux internautes.
